La plupart du temps, l’être humain considère la maladie comme une calamité dont il faut se débarrasser au plus vite grâce notamment en ingurgitant des médicaments chimiques
Certes, je ne connais pas grand monde qui aime être malade. Néanmoins, le corps parle…
La « mal a dit » enseigne, renseigne, signale au « malade » ce qu’il refuse de voir ou ce qu’il porte en lui sans savoir…
une culpabilité reniée (une femme a avorté et porte une culpabilité qui finit par la rendre malade)
un corps que l’on méprise et dont on n’écoute pas les besoins
une âme que l’on méconnaît et dont on n’écoute pas les messages
une tâche qu’on n’accomplie pas
un chemin de vie qu’on ne respecte pas…
Les maladies peuvent être des défis à surmonter, des signes de dysfonctionnement ou même des éléments clés dans l’évolution biologique. Certes, le traitement des maladies est essentiel pour maintenir un semblant de santé et de bien-être dans nos Sociétés modernes. Néanmoins, le traitement sans la compréhension de ce qui se joue en arrière plan ne permet pas la guérison profonde du corps et c’est ainsi qu’il y aura à nouveau un dysfonctionnement de celui-ci.
La mal a dit exige un changement.
Il ne faut donc pas simplement la faire disparaître par la prise de médicaments…
A méditer
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